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Irina Brook: «Pour moi, Shakespeare pouvait convertir les gens au théâtre»

Irina Brook:«Lear? se passe dans une maison de retraite pour artiste mais Lear pense qu’il est dans un spa de luxe!» Service de presse

ENTRETIEN - Au théâtre élisabéthain du château d’Hardelot, la metteuse en scène et fille de Peter Brook, monte Lear? pour la 7e édition des Shakespeare Nights.

Le TER file à l’anglaise vers Étaples-Le Touquet. C’est à mi-chemin entre Le Touquet et Boulogne-sur-Mer, à Condette, que l’on rencontre le château d’Hardelot, château fort du XIIIe siècle, reconstruit au XIXe. Il héberge le centre culturel de l’Entente cordiale. Depuis 2016, il est flanqué d’un théâtre élisabéthain, le seul construit en France. Un «O» tout de bois, encerclé par une haute cage de bambou, conçu sur le modèle du Globe, le légendaire théâtre londonien de Shakespeare. Dans ce lieu, Irina Brook se sent comme chez elle, et c’est tout naturellement qu’elle y monte, avec sa compagnie Dream New World, son nouveau spectacle: Lear ?.

En ce printemps, saison magique de la germination des semences, de l’éveil d’une conscience neuve, Irina Brook entre dans le temps du renouveau après sa démission, il y a cinq ans, du Théâtre national de Nice (TNN). Rencontre avec une femme tombée dans la magie shakespearienne dès qu’elle vit la lumière du jour. Disons qu’elle est née avec ce  don…

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