Dossiers

Stanislas Martin, rapporteur général de l’Autorité de la concurrence, revient sur le rehaussement des seuils de notification des concentrations, une des mesures phares du projet de loi sur la simplification de la vie économique porté par Bruno Le Maire.

Présenté mercredi en Conseil des ministres, le texte comprend plusieurs mesures destinées à faciliter les cessions et fusions d’entreprises.

Depuis le covid-19, le télétravail s’est imposé au regret de certains dirigeants de fonds comme Stephen Schwartzmann de Blackstone. Entrée dans les moeurs, la pratique est un bonus pour le recrutement et la supprimer semble difficile.

Franck crépin est responsable de la stratégie Private Equity dans l’aéronautique de Tikehau Capital.

La forte reprise post-Covid dans l’aviation entraîne des besoins de financements pour de nombreux sous-traitants, encore fragilisés par la pandémie. Opportunité pour le capital-investissement, sur fonds de consolidation.

Derrière l’appellation barbare de Chief Sustainability Officer se cache une fonction désormais à part entière dans l’univers du capital-investissement.

Longtemps basée sur des objectifs de TRI, Ebitda, chiffre d’affaires… la rémunération des managers sous LBO intègre désormais des critères ESG.

De nombreuses sociétés d’investissement indexent entre 10 et 50 % du carried-interest de leurs équipes à l’atteinte de critères ESG.

Les cabinets d’avocats français ont enregistré cette année quelques transferts d’ampleur et la fusion de deux majors de la place : Allen & Overy et Shearman & Sterling.

En partenariat avec Chambers and Partners, Capital Finance publie le classement 2024 des meilleurs conseils juridiques pour les transactions M&A, private equity, restructuring ainsi qu'en matière de concurrence.

Le nombre de transactions bloquées à travers le monde pour des questions de concentration a augmenté de plus de 50 % en 2023, selon Allen & Overy. Un frein au M&A.

Benoît Gaillochet, co-head infrastructure Europe chez Ardian, revient sur les transformations que connaît le marché de l’investissement dans les infrastructures en ce début d’année.

Plusieurs grands fonds de private equity ont pris position dans l’infra avec des acquisitions significatives. Le signe d’un nouveau chapitre pour cette classe d’actif à fort potentiel.

Les montants levés par les GPs à travers les unités de compte des contrats d’assurance-vie devraient augmenter avec les évolutions apportées par la loi industrie verte. Mais des inquiétudes émergent.

Blackstone accélère dans la démocratisation du non coté en annonçant la commercialisation d'un fonds de dette privée auprès des particuliers via les contrats d’assurance-vie de BNP Paribas Banque Privée.

Jonathan Zafrani, Managing Director et Co-head, Carlyle Europe Partners livre sa vision du private equity en 2024. Un climat complexe et incertain n’induit pas un manque d’opportunités, bien au ­contraire. Et nous pourrions voir plus de fusions et acquisitions cette année dans un environnement qui se stabilise.

Jérôme Nommé, responsable de KKR France, nous livre sa vision du private equity en 2024. Face aux défis macroéconomiques actuels, les investissements ciblent des entreprises et des secteurs qui prospéreront même dans des environnements de marché plus volatils.

Lionel Assant, qui vient d'être promu co-directeur monde des investissements de Blackstone, nous livre sa vision du private equity en 2024. Les problèmes liés au coût et à la disponibilité du capital ne vont pas disparaitre à court terme mais le marché favorable aux acheteurs continue de créer des opportunités intéressantes .

Dealflow, dry powder, ESG, secteurs privilégiés... Rob Seminara, directeur Europe d'Apollo Global Management, donne sa vision du marché pour l'année à venir.

Confiants mais prudents, cinq majors, Apollo, Ardian, Blackstone, Carlyle et KKR, nous livrent leur vision du marché européen du capital investissement pour les douze prochains mois.

Mark Benedetti, Directeur Général d'Ardian, partage sa vision de l'année 2024 pour l'industrie du Private Equity. Le contexte économique, en convalescence, laisse tout de même entrevoir une amélioration après une année 2023 particulièrement compliquée.

Le bilan 2023 ressort moins bon que prévu pour les fusions-acquisitions en France. Malgré un environnement économique peu porteur, les corporates réalisent néanmoins quelques beaux deals à plus de 1 Md$. Les regards pleins d’espoir sont déjà tournés vers l’année prochaine.

La position des sages de la rue Cambon, qui ont épinglé les frais de la banque publique dans deux rapports consécutifs, ne convainc pas le marché.

En attendant la reprise du marché, les fonds créent de la valeur avec les croissances externes de leurs participations.

Les transactions ont chuté de 66 % cette année, représentant juste 20 % du marché français du M&A. Dans un environnement économique incertain, les banquiers accumulent les mandats mais peu de deals aboutissent…

Les courtiers d’assurance rapportent une hausse des sinistres en 2022. Et la dynamique ne devrait pas s’arrêter là.

Malgré la déprime des fusions acquisitions, les solutions garanties d’actif et de passif continuent de gagner du terrain grâce à des capacités en hausse et des tarifs en baisse.

Surtout, ne pas rater le train de l’IA générative. Voilà ce que se disent les acteurs du private equity à l’évocation de cette technologie. Dans ce premier volet d’articles sur l’IA Gen et les acteurs du private equity, Capital Finance décortique la nouvelle donne dans le travail des law firms.

Les montants investis dans ce secteur résilient progressent de 7 % en France cette année alors qu’ils chutent dans les autres industries. La medtech et les sous-traitants de la pharmacie en vedette.

Des collectes laborieuses et un deal flow obstrué, le private equity est allé chercher ailleurs des liquidités. Son nouvel outil se fait une place sur l’étagère des prêteurs, mais attention au leverage sur du leverage…

Les 2,7 Md€ engagés par les financeurs du dispositif seront-ils intégralement alloués fin 2023 ? Les 33 sociétés de gestion d’actifs qui distribuent le dispositif font le maximum pour y parvenir.

La France est à l’aube d’une nouvelle ère où les restructurations pourraient se faire plus complexes, plus profondes, et plus « socialement impactantes ».

Les exigences des LPs et de la réglementation européenne en matière de reporting ESG se heurtent à un manque de disponibilité des données et à l’absence d’uniformisation des questions.

Mal défini et pas assez encadré, l’investissement durable risque de devenir un outil marketing où le bon grain et l’ivraie se côtoient. Pour y remédier, plusieurs pistes sont à l’étude, dont la refonte du SFDR et un label.

140 Md€. C’est le montant que prévoient d’allouer les LPs au non-coté sur les douze prochains, selon une enquête du cabinet AlixPartners. S’appuyant sur les données recueillies auprès de 2.000 GPs et LPs participant à l’Ipem, cette première édition de l’étude dresse un panorama optimiste pour le pri…