Actualité PME

Au premier trimestre 2024, la Saône-et-Loire et la Côte-d'Or se sont démarquées par rapport aux autres départements de la région Bourgogne-Franche-Comté.

Massa Kouyaté s'est donné pour défi de démocratiser le bagel en France. Depuis Mâcon, en Saône-et-Loire, il a lancé sa propre marque bio, équitable et made in France baptisée « MK Factory ». Le fondateur cherche désormais à accroître sa force commerciale grâce à une levée de fonds.

Le pacte en faveur de la haie entre en vigueur ce printemps dans les territoires. Il constitue « une opportunité » pour de nombreuses TPE-PME.

On connaît désormais la localisation de la structure qui va accueillir 48 jeunes de l'Aide sociale à l'enfance, dont plusieurs fratries, en Saône-et-Loire. Ce futur « village » sera créé au coeur de Saint-Gengoux-le-National dès 2027 et sera financé par le département pour un coût de 10 millions d'euros.

Déjà fragilisés par la crise immobilière qui a réduit le nombre de déménagements, les professionnels redoutent l'impact des Jeux sur leur activité. L'été est capital : ils y font la moitié de leur chiffre d'affaires.

Les passagers réclament la réouverture des « petites lignes du quotidien », parfois fermées depuis des décennies. Des projets coûteux qui nécessitent l'implication des collectivités, en premier lieu les régions.

Pour contrebalancer la baisse des crédits de fonctionnement alloués par l'Etat, les pôles de compétitivité ont augmenté les cotisations de leurs adhérents et facturé des services sur mesure. Mais il y a des limites à respecter pour rester dans le cadre de l'action publique.

Initiée en avril 2004, la politique des pôles de compétitivité a donné naissance à de puissants écosystèmes d'innovation qui couvrent tous les territoires et des secteurs industriels stratégiques. Selon l'enquête menée par « Les Echos », ils ont rempli leur mission en embarquant les PME dans plus de 28.000 projets collaboratifs de R&D labellisés depuis leur création.

Il y a quelques jours, le groupe hôtelier Millésime a obtenu un permis de construire pour transformer le château de Chasselas, en Saône-et-Loire, en hôtel de prestige doté d'un spa et d'un restaurant gastronomique.

Le Meti a publié jeudi sa première étude sur l'activité des entreprises de taille intermédiaire à l'étranger. Une manière de rappeler au gouvernement leur contribution, alors qu'elles estiment leur compétitivité menacée.

L'ETI de Libourne, en Gironde, a tissé sa toile à travers le monde à coups d'acquisitions et d'hyperspécialisation. Son chiffre d'affaires vient de dépasser le milliard et demi d'euros.

Grâce à l'expérience acquise par Framatome sur le projet Hinkley Point C, le Royaume-Uni fait de nouveau confiance à la firme française pour produire deux réacteurs EPR à destination de la future centrale nucléaire de Sizewell C, en Grande-Bretagne. Comme pour le précédent projet, l'usine de Saint-Marcel et la forge du Creusot (Saône-et-Loire) sont largement mobilisées.

Toutes les communes ont jusqu'au 1 er  juin pour se conformer à l'obligation d'adressage. Les enjeux sont importants, des colis aux GPS en passant par les services de secours et la fibre optique.

Comme les crèches classiques, ces structures qui peuvent accueillir jusqu'à 12 enfants sont frappées par la pénurie de personnels. Le gouvernement ne les a pas mentionnées lors de l'annonce d'une aide financière aux employeurs de crèches.

Le secteur de la petite enfance, qui compte 150.000 salariés, peine à recruter des profils qualifiés pour ses 10.000 postes non pourvus. Le groupe privé Les Petits Chaperons Rouges vient de créer une formation en interne.

Le Mouvement des entreprises de taille intermédiaire (Meti) et le cabinet BDO remettent ce mardi au gouvernement une liste de « PME de croissance ». Macron a souhaité 1.000 ETI supplémentaires d'ici à 2027.

A l'image du Marathon de Paris ce week-end, l'engouement pour l'épreuve reine de course à pied se confirme dans tout l'Hexagone. Les événements profitent à la fois aux territoires et aux entreprises du secteur.

Les cessions acquisitions de petites entreprises ont baissé de 11 % en 2023 en raison d'une conjoncture économique incertaine, selon le panorama d'In Extenso, révélé par « Les Echos ». Les premiers mois de 2024 augurent une reprise des opérations, toujours tirées par l'axe Paris-Lyon. La transmission est au coeur des préoccupations du gouvernement.

Le premier quartier d'affaires européen vivra au rythme des Jeux avec les épreuves de natation et le passage de la flamme. En perte de vitesse, il mise sur ce coup de projecteur, lui qui a déjà gagné grâce aux JO l'arrivée du RER E.

Les camions-restaurants chassés des villes et les bars mobiles ont trouvé un terrain de jeu dans les territoires ruraux où ils apportent de l'animation.

Les boutiques ambulantes apparaissent comme une solution agile et rentable dans les zones rurales. Quelque 21.000 communes de l'Hexagone sont sans magasin.

Les territoires qui se singularisent par leur patrimoine architectural et religieux veulent exploiter leur potentiel économique. Sans perdre l'âme des sites qui attirent pèlerins et touristes.

La pénurie de foncier et la crise de l'énergie contraignent les entreprises à repenser leurs organisations. Elles conçoivent des outils de production plus compacts et n'hésitent pas à réorganiser leurs équipes.

L'intégration des sportifs de haut niveau impose de nombreux aménagements en interne. Ils servent l'image de l'entreprise, sans être toujours certains d'y rester.

Dans une période où elles jouent gros, les PME du secteur se démènent pour contenir les hausses de prix. La flambée des cours du cacao pose surtout problème pour la fin de l'année.

Le métier d'expert-comptable est « impacté dans ses missions traditionnelles ». Un plan de formation sans précédent depuis des décennies est engagé à l'horizon 2030.

A quatre mois des Jeux, les livraisons de sites se multiplient. Après le village des athlètes, c'est notamment au tour du cluster des médias, d'un coût de 650 millions d'euros, d'être inauguré, lundi prochain, toujours en Seine-Saint-Denis.

Les retards en matière de règlement des factures repartent à la hausse depuis l'an dernier et mettent en danger la trésorerie des petites entreprises. L'Etat s'en inquiète et prévoit de renforcer ses outils de contrôle.

Face à la remontée des retards de paiement des factures « qui peut mettre en péril une petite entreprise », la ministre entend renforcer les sanctions. Dès le 15 avril, les comportements des collectivités locales, souvent tancées pour leur retard, seront publiés, à l'instar des entreprises.

L'association Pacte PME met en oeuvre un programme pour la transition énergétique lancé l'été dernier. Mais convaincre en nombre les petites entreprises de s'engager sur la voie du bas carbone reste compliqué.

Sur les parois de verre ou de roche, au fond des mers, les terrains inhospitaliers aimantent des PME en quête de sensations fortes. Méconnus, relativement délaissées par les grands groupes, ces marchés de niche n'en sont pas moins stratégiques.

Le label Terre de Jeux, créé spécifiquement lors de la candidature de Paris pour impliquer tout l'Hexagone, réunit 4.000 territoires et quelques acteurs du monde sportif. Leurs actions seront mises à l'honneur ce jeudi lors du Forum Paris 2024.

Les règles viennent d'être assouplies pour la circulation dans les périmètres de sécurité. Mais, à quatre mois et demi des Jeux, les 60.000 commerces de la capitale sont toujours en attente de précisions.

L'équation financière de la restauration scolaire reste compliquée pour les élus. Communes, départements et régions cherchent la bonne recette pour maîtriser les coûts et épargner les familles.

Plus de trente ans après l'ouverture du célèbre parc d'attractions, l'agglomération Val d'Europe, en Seine-et-Marne, poursuit son développement. Près de 7.600 entreprises y sont implantées, dont Deloitte, qui s'apprête à y ouvrir un de ses principaux centres de formation.

Près d'un quart des petites et moyennes entreprises interrogées par Bpifrance Le Lab, dans le cadre du premier baromètre sur l'export, ont l'intention d'exporter en 2024. C'est plus que les 15 % de TPE-PME qui déclarent chaque année vendre à l'international.

Le groupe, qui compte 43 établissements et 1.200 salariés, est victime de l'augmentation des coûts et du faible taux d'occupation de ses lits. Les repreneurs pourront racheter les établissements pour un prix symbolique et n'auront pas à éponger leurs dettes.

A la fin de 2025, le village des athlètes se transformera en morceau de ville accueillant au nord de Paris 6.000 habitants et 6.000 salariés. Mais la commercialisation des logements, qui a déjà commencé, est pour l'instant laborieuse.

En dix ans, les surfaces de blé noir ont doublé et la France, longtemps dépendante des importations, est parvenue à inverser la tendance. Cela grâce, notamment, au travail des chefs cuisiniers et des industriels pour remettre la plante au goût du jour.

L'explosion de l'« indoor » dans les villes tracte le secteur. Cette massification bénéficie aussi à des PME, fabricantes de prises ou de chaussons.

Le marché de l'imprimé a dégringolé de 25 % en volume en 2023, sous l'effet de la hausse du prix du papier notamment. Les petits imprimeurs bataillent pour résister aux vents contraires.

Cette tendance en faveur des « basses technologies » durables fut d'abord l'apanage des bricoleurs de génie et de l'humanitaire. Elle commence à foisonner via des entreprises pionnières et à faire son chemin dans certains groupes.

Les criées ont souffert de l'interdiction de pêche dans le golfe de Gascogne, avec des apports en poisson réduits. Pour les pêcheurs, cette interdiction n'était pas la meilleure solution pour préserver les dauphins.

Porté par un phénomène de mode, l'ongle a pris 15 % du marché de la beauté, en particulier dans des salons et « nail bar » spécialisés. Mais passé une vague d'installations post-Covid, ce jeune secteur de 9.000 petits commerces indépendants traverse une passe difficile.

Les festivités du carnaval de Nice, le plus important de l'Hexagone, ont débuté samedi. C'est un bonus pour les villes à une période où la fréquentation se fait rare, mais la réussite de l'opération exige de leur part un soutien important.

Mal connu, le travail de l'Association française de normalisation consiste à coproduire des normes à la demande des entreprises.