Neext Engineering mise sur un petit réacteur nucléaire de quatrième génération Contenu réservé aux abonnés
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Porté par la jeune entreprise de Belfort qui ouvre son capital aux citoyens, le projet Sparta embarque des acteurs du nucléaire et des laboratoires de recherche. Il est novateur à la fois dans son approche technologique et son modèle économique.
Par Chantal Houzelle, Monique Clémens
Quelques mois après sa création à Belfort, Neext Engineering dépose déjà son dossier à l'appel à projets « Réacteurs nucléaires innovants » de France 2030. Entre-temps, la jeune entreprise a convaincu des partenaires de poids de rejoindre l'aventure : Westinghouse Electrique France, GE Steam Power, Nexson Group ainsi que deux laboratoires du CNRS, l'Institut de physique des 2 Infinis (IP2I) pour les matériaux, et le laboratoire Réactions et Génie des procédés (LRGP) pour l'étude des procédés.
« Et on embarque le CEA [Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives, NDLR] comme sous-traitant majeur, qui est propriétaire des technologies de réacteurs à métal liquide de Phénix, Superphénix et Astrid, cousines de celle de Westinghouse », insiste Jean Maillard, président et cofondateur avec Nicolas Moulin, de cette toute jeune société d'intégration des systèmes énergétiques pour la décarbonation.
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