[go: up one dir, main page]

Publicité

A la tête de l'université de Bourgogne, Vincent Thomas mise sur un compromis entre local et international 

Contenu réservé aux abonnés

Vincent Thomas a été réélu pour un deuxième mandat au début du mois en tant que président de l'université de Bourgogne. L'occasion de revenir sur son premier mandat, et sur ses priorités pour les années à venir.

L'Université de Bourgogne à Dijon.
L'Université de Bourgogne à Dijon. (Konrad K. /SIPA)

Par Louise Mathieu

Publié le 5 avr. 2024 à 20:11Mis à jour le 6 avr. 2024 à 09:13
Réservé à nos abonnés

« J'ai beaucoup de fierté, c'est vrai. Mais c'est la fierté que j'ai de servir cette communauté qui travaille pour le bien commun », résume Vincent Thomas. Le 11 mars dernier, il a été réélu président de l'université de Bourgogne après un premier mandat de quatre ans. « Nous allons poursuivre notre stratégie pour faire rayonner l'université, en conservant son ancrage territorial tout en renforçant son rayonnement à l'international », poursuit Vincent Thomas, à la tête de l'université de 34.000 étudiants et dont le principal campus se situe à Dijon (Côte-d'Or) .

L'adaptation aux besoins du territoire, tout d'abord. Cet axe a été renforcé au cours du précédent mandat de Vincent Thomas. Si les six campus territoriaux (Dijon, Auxerre, Nevers, Mâcon et Chalon-sur-Saône) qui existent depuis les années 1990, les relations avec les pouvoirs publics locaux ont été renforcées. « Jusqu'à présent, les stratégies locales étaient élaborées sans nous y associer dès le début. Nous avons donc cherché à collaborer dès le premier jour de la conception des programmes, pour s'assurer que nos moyens matériels, financiers et immobiliers correspondaient bien aux stratégies mises en place », explique Vincent Thomas.

Ce contenu est réservé aux abonnés Access et Premium

Analyses économiques et 100% des articles Patrimoine : l’offre Access est faite pour vous !

    Je débloque l'articleDéjà abonné ? Connectez-vous
    Publicité