Les élèves des lycées privés sont-ils discriminés au concours de Sciences Po Paris ?
Depuis plusieurs années, les candidats issus de lycées très prestigieux (en particulier à Paris) estiment être mis de côté à l’issue du concours de l’IEP.
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Depuis plusieurs années, les candidats issus de lycées très prestigieux (en particulier à Paris) estiment être mis de côté à l’issue du concours de l’IEP.
TRIBUNE - L’IEP de Paris a refusé que Pascal Perrineau conserve son statut de professeur émérite, une première dans l’histoire de l’établissement. Alors que le politologue cultivait une certaine liberté de ton, sa mise à l’écart est un signe inquiétant pour le pluralisme dans l’institution, estime l’écrivain Julie Girard.
Le politologue a appris qu’il allait perdre son titre de professeur émérite. Une décision du conseil scientifique de l'école.
REPORTAGE- Les représentants des sept partis politiques dépassant les 5 % d’intentions de vote aux européennes ont présenté leur programme agricole, ce mardi, devant un auditoire très attentif.
Suite aux incidents survenus lors des mobilisations pro-Palestine du 12 mars, des auditions se sont succédé à l’IEP.
GRAND ENTRETIEN - De l'islamo-gauchisme, qui a fait de Sciences Po son laboratoire, aux tentatives de déstabilisation de puissances étrangères, l'islamologue et le président du laboratoire de la République débattent des menaces intérieure et extérieure qui minent les démocraties occidentales et des moyens de les combattre.
ENTRETIEN - Le président d’Horizons à l’Assemblée annonce le lancement d’une commission sur le respect des valeurs de la République.
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FIGAROVOX/TRIBUNE - Il est urgent de soutenir la coopération universitaire entre les universités françaises, palestiniennes et israéliennes, plutôt que de l'entraver comme le font certains étudiants, argumente le président du Forum international pour la paix et la réconciliation au Moyen-Orient.
FIGAROVOX/TRIBUNE - De Sciences Po à l'université de Columbia, en passant par Harvard et la Sorbonne, les soulèvements contre Israël atteignent des proportions inédites, témoigne Simon Moos, qui revient sur les causes profondes de la haine contre l’Etat hébreu.
FIGAROVOX/HUMEUR - En 2018, le célèbre avocat pénaliste a vu l’une de ses interventions à Sciences Po annulée. Il raconte cette expérience et regrette le virage pris par l’institution de la rue Saint-Guillaume.
Les forces de l'ordre sont de nouveau intervenues mardi dans l'université de la Sorbonne et devant Sciences Po Paris pour mettre fin à des rassemblements et des actions de blocage de militants propalestiniens, en écho aux messages répétés de fermeté du gouvernement.
RÉCIT - Depuis le 17 avril, des activistes pro-Gaza occupent de nombreux campus, notamment aux États-Unis et en Europe. Partout on brandit ce foulard noir et blanc devenu symbole de la lutte pour la Palestine.
TÉMOIGNAGES - Quand une petite centaine de jeunes manifestent en faveur d’un cessez-le-feu à Gaza, le reste des étudiants dit subir les blocus et s’énerve de se voir imposer un débat «polarisé» sur le conflit israélo-palestinien.
Suite aux agitations embryonnaires de l’institut a question du rôle déterminant des influences minoritaires a resurgi.
CONTRE-POINT - En s’en prenant aux bloqueurs et aux Insoumis, l’eurodéputé a réussi à se poser en porte-parole de la majorité silencieuse et à ce que les figures de LR expriment leur fierté de leur tête de liste.
Après avoir reçu le soutien officiel de David Lisnard lundi soir, le candidat des Républicains aux européennes a fait une irruption surprise dans la rue de Science Po pour dénoncer une instrumentalisation politique.
La tête de liste LR aux européennes a eu une altercation avec le député LFI Louis Boyard, sous les huées de la centaine d'étudiants pro-palestiniens réunis aux abords de la rue Saint-Guillaume ce mardi.
L’entrée du campus principal de l’IEP était encore bloquée ce mardi matin par une mobilisation en faveur de la Palestine.
L’humoriste serait visé par des menaces depuis le 29 avril. Depuis qu’il a pris à partie, sur Instagram, des étudiants ayant participé au blocage de Sciences Po Paris.
Les forces de l’ordre ont délogé des manifestants devant le campus parisien de l’IEP ce lundi 6 mai.
INFO LE FIGARO - Une professeure de l’IEP a adressé un mail à ses étudiants dans lequel elle estime les mobilisations de ces derniers jours «légitimes».
PORTRAIT - L’universitaire, qui décrypte la vie électorale et politique depuis plus de quarante ans, se raconte pour la première fois dans Le Goût de la politique, récit d’un passionné de la Ve République, spectateur navré des dérives de Sciences Po.
FIGAROVOX/CHRONIQUE - Face aux universités bloquées par des étudiants d’extrême gauche aux États-Unis comme en France, notre chroniqueur constate que l’antisémitisme, aujourd’hui, n’a plus de frontières.
CHRONIQUE - Chaque semaine, pour Le Figaro, notre chroniqueur pose son regard ironique sur l’actualité. Aujourd’hui, il imagine une journée de mobilisation rue Saint-Guillaume.
RÉCIT - Les manifestations qui paralysent l’établissement depuis près de deux mois ne laissent personne de marbre parmi les anciens élèves.
Dans un long entretien à La Provence et à la Tribune Dimanche, le président de la République a évoqué le conflit au Proche-Orient et les mouvements d’étudiants pro-Palestiniens.
RÉCIT - Fondée après la défaite de 1870 par Emile Boutmy pour former les élites de la nation, Sciences Po est riche d’un long et prestigieux passé. L’établissement a beaucoup changé sous Richard Descoings, au bilan discuté.
Les comités Palestine qui fleurissent dans les universités sont les jouets, les instruments, les idiots utiles de Vladimir Poutine, Bachar el-Assad et l'ayatollah Khamenei.
Quelques dizaines de manifestants avaient bloqué un amphithéâtre jeudi. Dans ce contexte, la direction a annoncé la fermeture administrative de l’école pour une semaine.
L’ancien directeur général de Pôle emploi assure temporairement la direction de l’institut d’études politiques parisien depuis le 26 mars.
LE POINT DE MIDI - Retrouvez l'essentiel de l'actualité parue ce vendredi 3 mai au matin sur notre site.
91 étudiants ont été évacués sans incident des locaux de la rue Saint-Guillaume. «La fermeté est et restera totale», prévient le gouvernement français.
REPORTAGE - Une centaine d’étudiants ont occupé les locaux parisiens de l’IEP cette nuit et dans la matinée. Les forces de l’ordre sont intervenues au matin pour les déloger.
Cette fermeture intervient alors qu’une nouvelle occupation des locaux est en cours par des étudiants pro-Palestine.
Près de deux mois après la démission de Mathias Vicherat, quatre personnalités sont pressenties pour prendre la direction de l’IEP. Aucune candidature officielle n’a pour l’instant été déposée.
ENQUÊTE - Fer de lance des idées et concepts venus des États-Unis, Sciences Po a donné le « la », en France, des manifestations propalestiniennes parties il y a quinze jours des grandes universités américaines.
REPORTAGE - À l’issue du débat entre 300 étudiants et la direction de l’IEP, un nouveau rassemblement s’est tenu dans le hall du campus.
CHRONIQUE - Le wokisme et l’islamo-gauchisme qui animent la haine d’Israël ne tombent pas du ciel. Ils viennent de loin, d’un héritage de Mai 68 qui conduit à voir dans Israël le dernier avatar de cet Occident blanc, patriarcal, capitaliste, colonisateur et américanisé.
Après les blocages de la semaine dernière, la direction de l'IEP a accepté d’organiser cette rencontre avec les étudiants ce jeudi 2 mai au sujet de la Palestine.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Pour le chroniqueur Eliott Mamane, les mouvements pro-Palestine dans les universités françaises sont autant la conséquence de l'importation de l’idéologie woke que celle de l'idéologie frériste, via des financements extérieurs.
Lundi soir, quelques dizaines d’étudiants ont organisé un sit-in et déployé un drapeau palestinien sur la façade du campus azuréen. Sur décision de la direction, l’IEP a été fermé. À une semaine d’une série d’examens, les cours ne sont plus assurés que par visioconférence.
Des militants pro-palestiniens occupent plusieurs Sciences Po de province ce mardi 30 avril.
Affirmant qu’il n’y a eu «aucun propos antisémite» ni «aucune violence» des jeunes propalestiniens, la ministre de l'Enseignement supérieur, a annoncé que l'État ne coupera pas sa subvention à Sciences Po Paris.
Vendredi, des dizaines d’étudiants manifestant devant l’école ont brandi leurs mains peintes en rouge. Plusieurs observateurs y ont vu une référence au massacre de deux soldats israéliens à Ramallah en 2000.
LE POINT DE MIDI - Retrouvez l'essentiel de l'actualité parue ce lundi 29 avril au matin sur notre site.
VIDÉO - Lundi matin, le présentateur a commenté sur CNews les violentes manifestations d’étudiants propalestiniens qui ont eu lieu vendredi devant l’établissement parisien. Son éditorial attaque le gouvernement «paralysé» par cet événement.
Après l’accord conclu entre Sciences Po et les étudiants pour faire cesser les blocages, l’ancien premier ministre a dénoncé la «lâcheté» et la «reddition» de la direction de l’école «face à l’islamo-gauchisme».
CONTRE-POINT - Autant que le blocage imposé par une poignée de militants, c’est son accommodement face à la quasi-totalité des exigences des bloqueurs qui en dit long sur le refus de mener le combat face à cette dérive.
Après la mobilisation de la semaine dernière, l’école avait annoncé un accord avec les quelques dizaines d’agitateurs pour faire cesser les blocages. Une « capitulation » que regrettent amèrement nombre d’étudiants de la majorité silencieuse.
L’ÉDITORIAL DU FIGARO - Les agitateurs de la rue Saint-Guillaume se veulent les homologues français des militants woke de Harvard, Yale ou Columbia, outre-Atlantique.
Après le blocage de l’école, la droite accuse la direction d’avoir cédé aux manifestants propalestiniens, tandis que l’exécutif accuse Jean-Luc Mélenchon de «mettre le feu» dans les universités.
PORTRAIT - À 35 ans, ce chercheur, docteur en histoire et maître de conférences, vient d’être élu à la tête de l’établissement, un poste à forts enjeux dans une école qui accueille chaque année 2000 étudiants.
Invitée du « Grand Jury RTL-Le Figaro-M6-Paris Première », la patronne des députés LFI a également dénoncé une « tentative de censure », alors qu’elle doit être auditionnée mardi pour « apologie du terrorisme ».
Après le blocage de l’institution par des manifestants pro-palestiniens, le chef de file de LR aux élections européennes a dénoncé un lieu d’«entrisme mélangé de gauchisme et d’islamisme».
Le premier ministre a accusé «une minorité (d’étudiants) agitée par des forces politiques notamment La France Insoumise (de) chercher à perturber le fonctionnement de cette institution».
VIDÉO - Des journalistes tentaient d’interviewer le député Aymeric Caron en pleine mobilisation, quand un jeune manifestant s’est interposé et les a contraints de quitter le cortège, sous les applaudissements de la foule.
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Dans le sillage de la rhétorique de Jean-Luc Mélenchon, l’antisionisme qu’expriment les étudiants de la célèbre école n’est que le cache-sexe de l’antisémitisme.
ENTRETIEN - Dans la nuit de jeudi à vendredi, des étudiants propalestiniens ont occupé le siège historique de l'école, rue Saint-Guillaume, et entrepris de bloquer sa principale entrée. Le professeur à Sciences Po* estime que cette institution est devenue un espace de meeting permanent.
Depuis plusieurs jours, les mobilisations d’étudiants propalestiniens s’intensifient à Sciences Po Paris. Ce vendredi, 1000 à 2000 personnes ont bloqué l’institution.