La viticulture verte, un bénéfice avéré pour la qualité des sols Contenu réservé aux abonnés
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Si la réglementation encadrant l'agriculture biologique est légitimement contraignante, son impact écologique est indéniable.
« Exigeant et contraignant » : Margot Huët définit ainsi le cahier des charges de l'agriculture biologique. Plus de 300 pages issues de la réglementation européenne que la chargée de mission technique viticole chez SudVinBio résume en deux principes : « L'interdiction de tous les produits chimiques de synthèse et la priorité à la prévention avec, en dernier recours, des produits phytosanitaires d'origine naturelle. » Un règlement long comme le bras, mais qui a des effets à court terme, notamment sur la qualité des sols et de l'eau.
« Dans sa partie souterraine, la vigne est un écosystème complexe dont le vivre ensemble est malmené par nombre de procédés et d'intrants de la viticulture conventionnelle », explique le biologiste Marc-André Selosse.
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