[go: up one dir, main page]

Publicité
Enquête

La viticulture verte, un bénéfice avéré pour la qualité des sols 

Contenu réservé aux abonnés

Si la réglementation encadrant l'agriculture biologique est légitimement contraignante, son impact écologique est indéniable.

Au Château Anthonic, à Moulis-en-Médoc, Jean-Baptiste Cordonnier utilise depuis une quinzaine d'années des engrais dits verts.
Au Château Anthonic, à Moulis-en-Médoc, Jean-Baptiste Cordonnier utilise depuis une quinzaine d'années des engrais dits verts. (Nathalie Coipel)
Publié le 31 janv. 2024 à 11:00Mis à jour le 31 janv. 2024 à 11:11
Réservé à nos abonnés

« Exigeant et contraignant » : Margot Huët définit ainsi le cahier des charges de l'agriculture biologique. Plus de 300 pages issues de la réglementation européenne que la chargée de mission technique viticole chez SudVinBio résume en deux principes : « L'interdiction de tous les produits chimiques de synthèse et la priorité à la prévention avec, en dernier recours, des produits phytosanitaires d'origine naturelle. » Un règlement long comme le bras, mais qui a des effets à court terme, notamment sur la qualité des sols et de l'eau.

« Dans sa partie souterraine, la vigne est un écosystème complexe dont le vivre ensemble est malmené par nombre de procédés et d'intrants de la viticulture conventionnelle », explique le biologiste Marc-André Selosse.

Ce contenu est réservé aux abonnés Access et Premium

Analyses économiques et 100% des articles Patrimoine : l’offre Access est faite pour vous !

    Je débloque l'articleDéjà abonné ? Connectez-vous
    Publicité