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Décryptage

French Tech : les start-up de la santé féminine partent à l'assaut de la ménopause 

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Plusieurs femtechs cherchent à briser le tabou de cette période de la vie des femmes, avec des applications ou des produits « hardware ». C'est le cas d'Omena, qui lève 800.000 euros.

Les trois cofondatrices d'Omena de gauche à droite : Jane Douat, Mathilde Nême et Hahyeon Park. 
Les trois cofondatrices d'Omena de gauche à droite : Jane Douat, Mathilde Nême et Hahyeon Park. (DR)

Par Camille Wong

Publié le 15 janv. 2024 à 08:00Mis à jour le 15 janv. 2024 à 08:12
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La ménopause, une étape incontournable dans la vie de nombreuses femmes, demeure un sujet souvent méconnu et sous-traité. Des start-up françaises émergent pour aborder cette période de manière éducative et personnalisée, grâce à des applications d'accompagnement et des technologies « hardware ».

Un marché potentiel de 600 milliards de dollars, avec 1,1 milliard de femmes postménopausées d'ici à 2025, selon le Female Founders Fund (2020), motive ces entrepreneurs à s'attaquer à ce défi de santé féminine, même si le sujet n'attire que 5 % des femtechs (start-up dédiées au bien-être et à la santé des femmes) dans le monde.

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