« En Afrique du Sud, l’ANC n’est plus un parti tout-puissant »
Décryptage Dissensus. Après le décevant bilan de la délégation française aux récents Mondiaux de Budapest, l’inquiétude règne. Faut-il craindre une débâcle de l’athlétisme tricolore aux Jeux de Paris dans un an ? Les avis du député Belkhir Belhaddad, coprésident du groupe de travail parlementaire sur la préparation de l’événement, et de l’ancienne championne de sprint Christine Arron.
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Le zéro pointé n’était pas loin. L’équipe de France a dû attendre le dernier jour des Championnats du Monde d’Athlétisme de Budapest, en août, pour décrocher une première – et unique – médaille, en argent, grâce au 4 x 400 mètres masculin. Ses détracteurs avaient déjà commencé à éplucher les archives, pointant que jamais la France n’était rentrée bredouille d’une telle compétition depuis 1993 ! L’honneur est sauf, donc. Pour la gloire, on repassera.
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En attendant, c’est plutôt l’inquiétude qui règne, à un an des Jeux olympiques à Paris… Preuve en est, la ministre des Sports (et des Jeux olympiques et paralympiques), Amélie Oudéa-Castéra, a convoqué dès le lendemain des Mondiaux les représentants de la Fédération française d’Athlétisme (FFA) et de l’Agence nationale du Sport (ANS), pour « une réunion dense, intense, tonique ». Objectif : « Identifier ensemble toutes les pistes d’optimisation …
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