De Demy à Lelouch en passant par Fellini : Anouk Aimée, l’électron libre du cinéma
Par René Backmann
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Après le renversement du régime salazariste, le Portugal fêtait en 1974 le 1er-Mai pour la première fois depuis un demi-siècle. « Le Nouvel Observateur » racontait la révolution des œillets à Lisbonne.
« Quarante-huit heures ont suffi aux militaires pour mettre fin à quarante-huit ans de fascisme et rendre aux Portugais la parole et l’espoir. Aujourd’hui, le pays est méconnaissable. » Dans son reportage depuis Lisbonne, René Backmann décrivait l’allégresse – censure abolie, prisonniers politiques libérés – et les nombreuses questions qui se posaient alors.
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Mario Soares, secrétaire général du PS revenu de son exil en France, mettait en garde contre le risque de sabotage économique : « Le fascisme est atteint mais sa base sociale est intacte : le baronat politico-corporatif demeure. Neuf groupes économiques et financiers contrôlent presque toute l’économie portugaise. A elle seule, la C.U.F. rassemble une centaine d’entreprises et contrôle plus du dixième du capital social de toutes les sociétés por…
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