Christophe Mey
La lettre d'adieu d'un résistant fusillé par les Allemands en avril 1944 au Mont-Valérien près de Paris rejoint les collections du Musée de la Résistance et de la Déportation de Besançon. Le jeune homme de 18 ans l'a écrite quelques heures avant sa mort à sa famille, qui en fait don au musée.
Un automobiliste a trouvé la mort ce mardi 21 mai en début d'après midi près de Champlitte en Haute-Saône, après une collision avec un poids-lourd. La victime est décédée sur le coup.
Football, handball, basket, rugby, cyclisme, lutte ce week-end (5 au 7 avril) : résultats et classements des principaux clubs et athlètes de Franche-Comté compilés par France Bleu Besançon.
Environ 400 élèves du collège Jacques-Brel à Vesoul (Haute-Saône) ont été évacués vendredi matin après la découverte d'un obus apporté par un élève. Les démineurs de Colmar sont intervenus, ils ont constaté que l'engin ne présentait pas de danger.
Football, handball, basket, rugby, biathlon, cyclisme ce week-end (16 au 18 février) : résultats et classements des principaux clubs et athlètes de Franche-Comté compilés par France Bleu Besançon.
Depuis trois mois, les services de pédiatrie du CHU de Besançon accueillent des visiteurs inhabituels. Lapins, poule, cochon d'inde et chien investissent les lieux, et ces séances de médiation animale font la joie des enfants hospitalisés.
Football, basket, biathlon, saut à skis, combiné nordique ce week-end (12 au 14 janvier) : résultats et classements des principaux clubs et athlètes de Franche-Comté compilés par France Bleu Besançon.
Un agriculteur de Saône-et-Loire a été mis en examen pour assassinat ce jeudi à Besançon. Il a reconnu avoir tué d'une balle dans la tête l'homme de 31 ans porté disparu depuis le 21 novembre à Cuisia, dans le Jura. Il dit avoir brûlé le corps et jeté les restes dans un ruisseau en crue.
Football, handball, basket, biathlon, combiné nordique ce week-end (24 au 26 novembre) : résultats et classements des principaux clubs et athlètes de Franche-Comté compilés par France Bleu Besançon.
Les rivières la Loue et le Doubs (en amont de Besançon) ont été placées mercredi en alerte orange par Vigicrues. Le pic de crue de la Loue a été atteint dans la nuit de mardi à mercredi à Ornans, avec un niveau moins haut que prévu.
Après des mois d'occupation, de grève, de manifestations et de négociations, le bout du tunnel. Un plan de relance est signé, en janvier 1974. Dans ce dernière épisode de notre série, nous assistons à la fin du premier conflit Lip.
En 1973, les salariés de l’entreprise horlogère Lip à Besançon refusent le plan social qui les menace, occupent leur usine et esquissent une forme d’autogestion qui fera date. A travers les archives, France Bleu Besançon vous plonge dans cette page d’histoire.
Après la grande mobilisation du 29 septembre, les négociations reprennent, mais le plan du négociateur est rejeté par l'assemblée générale des salariés. Quel avenir pour les 1.300 ouvriers ? On entend dans cet épisode la célèbre phrase de Pierre Messmer : "Lip, c'est fini !"
Alors que les Lip ont trouvé un nouveau point de chute après l'évacuation de l'usine, des négociations s'ouvrent avec le médiateur. Le 29 septembre, à Besançon, se déroule "la marche des 100.000" pour défendre les salariés, un des moments forts de ce conflit.
Trois mois après le début de l'occupation, le 14 août 1973, le personnel de Lip est expulsé de l'usine bisontine. Les ouvriers répliquent par des manifestations et vont tenter de rebondir ailleurs. Ce 7e épisode raconte un moment charnière dans l'histoire du conflit.
Début août 73, la première paye est distribuée aux ouvriers de Lip qui occupent toujours leur usine. L'événement ne passe pas inaperçu. Il est très mal vu par le patronat. Après les "ventes sauvages" de montres, la "paye sauvage".
Ce 5e épisode de la série “Lip 73, les archives” fait entendre la voix des ouvriers. Les salariés mobilisés pour la défense de leur emploi racontent leur fierté de travailler “libres”, sans le poids de la hiérarchie.
Pour populariser leur mouvement, les Lip ouvrent leur usine au public. L'entreprise devient un lieu de vie, de débats, de concerts.
En grève depuis le printemps 1973 pour sauver leurs emplois, les ouvriers de Lip occupent leur usine. Dans ce troisième épisode, nous entendons comment les salariés ont mis en œuvre le célèbre slogan : “On fabrique, on vend, on se paye”.
L’entreprise Lip est en crise à Besançon, mais les 1.300 salariés se battent pour sauver leurs emplois. Dans ce 2e épisode, nous découvrons comment s’est déroulée la première manifestation qui a rassemblé des milliers de participants le 15 juin 1973.
Journaliste à France Bleu Besançon.