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COP26 : une délégation de Clermont-Auvergne-Métropole à Glasgow

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Les villes ont un rôle à jouer dans la lutte contre le dérèglement climatique. A l'occasion de la COP 26, des représentants de Clermont-Auvergne-Métropole vont porter à Glasgow la voix des territoires dans le cadre du projet "Urb-En Pact".

Marche pour le climat à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) : Marche pour le climat à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) :
Marche pour le climat à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) : © Radio France - Mickaël Chailloux

La COP 26 sur le climat a débuté ce dimanche à Glasgow. C'est la 26e édition de ce sommet qui réunit 197 pays et organisations régionales, ainsi que des entreprises, et des experts. Objectif : renouveler et intensifier les efforts pour lutter contre le réchauffement climatique. Clermont-Auvergne-Métropole participe au débat.  

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Une délégation clermontoise à Glasgow

Huit villes et intercommunalités d'Europe, qui travaillent en réseau, participent à cette COP 26 dans le cadre d’Urb-En Pact. Ce projet vise à permettre à chacune des villes de devenir, d'ici 2050, un territoire à énergie positive. 

Les territoires impliqués :  Métropole Rouen Normandie (France), Functional Area of Bialystok (Pologne), Eco Fellows de Tampere (Finlande), Palma di Montechiaro (Italie), Alto  Minho (Portugal), Galati (Roumanie), Elefsina (Grèce) et Clermont-Auvergne-Métropole (France).

Tout naturellement, c'est la délégation clermontoise, initiatrice de ce projet, qui prendra la parole ce jeudi 4 novembre à Glasgow. Nicolas Bonnet, élu écologiste à la CAM, s'exprimera à la tribune, durant une dizaine de minutes. Un discours en anglais qu'il a pris soin de peaufiner pour faire passer le message.

Faire bouger les choses à l'échelle municipale

Pour Urb-En Pact, les villes ont retenu 20 actions à développer et à mettre en œuvre sur le terrain, en faisant appel à l'ensemble des acteurs du territoire.

La centrale biogaz d'Allonnes, dans la Sarthe, permet de transformer les déchets organiques en méthane.
La centrale biogaz d'Allonnes, dans la Sarthe, permet de transformer les déchets organiques en méthane. © Radio France - Ruddy Guilmin

Exemple : le développement du biogaz. Nicolas Bonnet donne des précisions : "Le biogaz, c'est du gaz d'origine organique, donc d'origine renouvelable. C'est le même principe que le bois qu'on utilise pour le chauffage. Ce bois a capté du CO2, qu'il restitue ensuite au moment où on le fait brûler. Le biogaz, c'est pareil. Il a capté du CO2 quand les matières organiques ont poussé, et ensuite on récupère ces matières organiques usées, comme les restes alimentaires ou les restes dans les champs, et on les méthanise pour produire du biogaz. Et on peut faire rouler des voitures avec ça. Aujourd'hui, il y a une seule station publique où on peut se servir en biogaz sur la métropole. Il y a donc un enjeu à développer".

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