“Pendant des décennies, les États-Unis et l’Europe ont œuvré à la réduction de la pollution atmosphérique au nom de la santé publique et de la planète, mais des scientifiques ont identifié des conséquences imprévues et complexes : une augmentation du nombre de cyclones tropicaux dans certaines régions”, rapporte CNN.

Leurs travaux, publiés le 11 mai dans Science Advances, révèlent des relations qui peuvent paraître étonnantes entre les aérosols polluants et la fréquence des cyclones tropicaux. Les aérosols polluants sont ces minuscules particules en suspension dans l’air qui proviennent, par exemple, des cheminées industrielles ou des gaz d’échappement des voitures.

Contrairement aux gaz à effet de serre comme le méthane ou le CO2, qui piègent la chaleur à la surface de la planète et persistent pendant des années dans